AUDACIEUX avec Sylvain de Carufel @ Salle J-Antonio-Thompson, Trois-Rivières – 17 décembre 2022

AUDACIEUX
Le 17 décembre dernier à la Salle J-Antonio-Thompson de Trois-Rivières, nous avons eu droit à un moment unique en son genre. Sylvain de Carufel (Jardin Mécanique) et Michel Kozlovsky nous offrent de l’audacieux au spectacle en mélangeant un orchestre à des classiques rock.
J’en suis à quoi… à ma 4ieme chronique et je ne vais jamais me proclamer chroniqueur, mais je vais toute de même vous faire comprendre pourquoi l’expérience Audacieux était une soirée à ne pas manquer.
Imaginez No more tears de Ozzy Osbourne joué avec du violon, du violoncelle, des instruments à vent accompagnés par une guitare électrique et une impressionnante voix versatile comme celle de Sylvain de Carufel. Pour moi, c’est le mélange parfait du contraste entre l’instrumental et surtout de plusieurs talents. Si vous ne connaissez pas Sylvain, suivez-le sur Facebook et sur YouTube, il a des MILLIERS de projets.
Déjà, je vais commencer par développer autour de Sylvain qui, comme vous aurez peut-être pu le comprendre, était le chanteur/guitariste de la soirée. J’ai connu ce Monsieur aux multiples talents dans son projet Jardin Mécanique. (Disons, pour faire court, que c’était un projet musical et théâtral et encore là, je vous conseille d’aller voir sur le net). Ensuite, je l’ai suivi comme chansonnier, dans un hommage a Metallica, Harmonium, Supertramp et j’en passe. Bref, c’est un mec avec un répertoire ÉNORME. Il était évident que j’étais fébrile de le voir avec un orchestre.
Pour l’orchestre, les musiciens ont interprété un répertoire assez varié en passent par No Quarter de Led Zeppelin et par du plus technique comme The Unanswered Question de Charles Ives ou même, justement, par du Jardin Mécanique et tout était joué avec brio. Le mix était parfait.
Je crois que le seul petit point négatif que j’ai à dire, mais pour lequel je crois que la salle n’aidait pas à ce que ça ce produise, c’est que je me serais attendu à peut être plus d’énergie de la part du public durant l’interprétation de la chanson Uptown Funk.
Oh, j’allais oublié de vous parler de Verlene qui nous a fait le plaisir de nous partager une magnifique composition nommée Emprisonne Moi. Et ici j’ai un blanc à savoir si c’est la composition de Verlene ou celle de Sylvain. Je m’en excuse si j’ai fait une erreur. En même temps, ces deux-là partagent beaucoup.
Finalement, je ne vois pas ce que je pourrais dire de plus, je crois surtout ce que c’était une soirée à être présent pour comprendre la magie de la chose. Malgré le peu de détails numerés, j’espère quand même que par ce texte ou mes photos, que j’aurai réussi à vous faire ressentir la joie que j’ai eu d’avoir pu entendre ces interprétations uniques en leurs genre.
Dernier point, j’aimerais remercier personnellement M. Kozlovsky de m’avoir permis d’être présent durant la soirée. Je n’ai pas eu la chance de le rencontré directement, mais j’aimerais malgré tout dire que nous pouvons ressentir juste par sa présence sur scène et la façon qu’il dirige l’orchestre que c’est une personne passionnée, qu’il aime ce qu’il fait et qu’il apprécrie grandement les personnes avec qui il partage la scène. Clin d’oeil au plusieurs discours qu’il a fait pour un certain groupe d’étudiant en musique, si j’ai bien compris.
Une fois de plus, c’était Joé Lacerte au rapport et à bientôt pour de futures aventures.
-Joé Lacerte
Critique et photos